Le couvent de Vithkreuß, murder ou long scénario à faire jouer !

couvent

Vithkreuß, dans le Saint-Empire Romain Germanique.

Deux sœurs disparaissent du couvent. Fuite d’une vie non désirée ? Certainement, mais sait-on jamais ce que les curieux et curieuses pourraient découvrir en fouinant dans les secrets des religieuses du couvent ?

Règles de vie

Les règles de vie au sein du couvent sont simples mais strictes. À tel point que Sœur Magdalena les impose à tous, y compris aux éventuels visiteurs.

Tout d’abord, il est interdit de parler à l’intérieur du couvent en dehors du cloître ou de l’isoloir. Cette règle est enfreinte par toutes les nonnes partageant une chambre. Les murs et portes sont suffisamment épais pour que cela ne soit pas un risque. De simples signes sont enseignés à chaque nonne pour signaler tel ou tel besoin. Entre Complies et Tierce, il est totalement interdit de parler, y compris dans les lieux adaptés pour cela. Ensuite, les portes des chambres ne doivent pas être verrouillées (même si elles peuvent être fermées). Raison pour laquelle il n’existe (officiellement) qu’un seul trousseau dans tout le couvent et que les nonnes n’y ont accès que par l’intermédiaire de Joanna. Enfin, nul argent ne peut circuler à l’intérieur du couvent. Celui est consigné par la sœur comptable (Antonina) et rendu lors d’un éventuel départ ou d’achats autorisés en ville.

Évidemment, les règles générales de la vie monastique (respect des vœux) ainsi que de la vie chrétienne sont aussi respectées.

Entrée et sortie du couvent

Pour entrer et sortir, il n’existe que trois issues possibles : la cuisine, le clocher et le temple. Ces portes sont fermées par des barres de bois, non par des serrures. De l’intérieur, n’importe qui peut donc ouvrir ces portes. Les seules portes pouvant être fermées à clef sont les portes internes. La bibliothèque est ouverte chaque matin pour être refermée chaque nuit ; la réserve n’est ouverte qu’en cas de besoin. Les chambres, bien que pouvant être verrouillées, ne le sont jamais.

Le contact avec les villageois est restreint au strict minimum. Principalement pour des histoires de ventes, achats, réparations et diverses petites affaires. C’est alors Antonina qui s’occupe de cette tâche.

Les autres sœurs ont très peu de contacts avec le village et les hommes. Magdalena (et avant elle, Gratia) organise parfois des événements communs avec le Père László et sa paroisse. Mais les sœurs n’ont guère l’occasion de créer des liens.

Tout au plus connaissent-elles les noms de quelques « personnalités » locales.

Téléchargez la version complète ici : https://www.okpal.com/ladies-couvent : accès libre (lien en fin de page)

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