Il y a des personnages qu’on aime détester, c’est même une façon de faire un excellent méchant. Van Helsing lui, est un personnage que je déteste aimer.
Réglons d’abord le cas du cow-boy à l’arbalète dans la grosse merh… ahem pardon, le film de divertissement grand public qui se paie le culot de porter son nom. Vous est-il déjà arrivé dans votre naïve jeunesse d’acheter dans un supermarché un truc pas cher étiqueté « foie gras » pour découvrir plus tard, en consultant la liste des ingrédients « Foie gras: dix pour cent » C’est à peu près le même sentiment qu’on peut éprouver en regardant Van Helsing. Franchement, ça va parce que je l’ai vu gratos. Continuer la lecture de Les monstres sacrés et leurs contrefaçons: Van Helsing